samedi, 05 septembre 2020
DIMANCHE 6 SEPTEMBRE 2020, PRÈS DE RENNES : FÊTE DU COCHON ORGANISÉE PAR LE PDF DE BRETAGNE
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REPORT DES BBR 2020 DE SYNTHÈSE NATIONALE : ROLAND HÉLIE EXPLIQUE LES RAISONS
Chers lecteurs, chers amis,
Certaines décisions sont dures à prendre et dures à annoncer à ceux qui vous font confiance, vous suivent et comptent à vos yeux. Aussi irai-je droit au but : en accord avec nos partenaires et nos invités, j’ai décidé de reporter (et non d’annuler) le « Rendez-vous Bleu Blanc Rouge » organisé par Synthèse nationale qui devait se tenir le samedi 10 et le dimanche 11 octobre prochains à Rungis, près de Paris.
Soyez-en certains, cette décision me fend le cœur.
Depuis 14 ans, à la rentrée, les nationalistes et les identitaires ont pris l’habitude de se retrouver toujours plus nombreux aux journées de Synthèse nationale. L’année dernière, nous étions près de 3 000.
Progressivement, ce rendez-vous s’est imposé comme le rassemblement incontournable, politique et festif, de toute la droite non conformiste. Il répond à une attente et marque, en quelque sorte, le point de départ de l’année militante pour toutes les forces qui y participent.
Hélas, cette année, exceptionnellement, il ne pourra avoir lieu.
Les raisons de ce report, vous les devinez. Ce sont les multiples contraintes découlant de la situation sanitaire actuelle qui nous sont drastiquement imposées par les autorités et rendent impossible le bon déroulement de notre « Rendez-vous Bleu Blanc Rouge ».
Depuis le commencement, en octobre 2007, le but de cet événement est de réunir le plus largement possible les diverses composantes de la mouvance nationale et identitaire afin de démontrer que notre famille d’idées se compose de forces dynamiques qui, chacune avec leurs spécificités, ont leur mot à dire, leur pierre à apporter. Or, au sens propre comme au sens figuré, les actuels bâillonnements et le climat de psychose (entretenu par les médias aux ordres) réduisent considérablement nos chances d’atteindre notre objectif.
Je sais que beaucoup d’entre vous avaient retenu ces dates et se faisaient une joie de se retrouver entre camarades. J’espère que ce report (car, je le répète, il s’agit d’un report et non d’une annulation) ne vous décevra pas trop.
Notre recherche de solutions permettant de maintenir malgré tout cette réunion s’est avérée vaine. Or, il faut savoir qu’une telle manifestation a un prix (environ 25 000 euros) et que nous n’avons pas le droit à l’erreur. Nous ne pouvons en aucun cas hypothéquer l’avenir de notre revue et de notre structure en maintenant coûte que coûte un événement voué à l’échec pour des raisons qui nous échappent.
Nous en sommes réellement désolés.
Dans les jours qui viennent, notre secrétariat procédera au remboursement des billets achetés et des réservations de stands. Bien entendu, dès que la situation redeviendra plus favorable, nous relancerons « la machine » et vous en serez informés.
Nous savons pouvoir compter sur votre compréhension et votre fidélité. Pour notre part, aucune péripétie ne peut affaiblir notre détermination à poursuivre le combat pour une France française dans une Europe européenne.
Dans l’attente de vous retrouver au plus vite...
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
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jeudi, 11 juin 2020
Samedi 10 et dimanche 11 octobre 2020 : le Rendez-vous Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale
09:45 Publié dans Rendez-vous | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 29 septembre 2018
Dimanche 14 octobre 2018 : TOUS À RUNGIS POUR LA 12 e JOURNÉE DE SYNTHÈSE NATIONALE
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NE LAISSONS PAS MOURIR LA FRANCE !
Chaque jour qui passe confirme nos pires craintes, Macron et sa clique ne sont que les petits serviteurs du mondialisme. Ils ne sont que les exécutants serviles de la finance arrogante chargés de liquider ce qui s’appelle encore « la France »…
Leurs objectifs : la destruction des nations et des civilisations et l’édification d’un vaste espace aux dimensions planétaires dans lequel les humains ne seraient plus que des consommateurs interchangeables juste bons à enrichir les multinationales. Ils veulent un monde uniformisé, sans identités et privé de libertés. Un monde issu du grand brassage des populations déracinées. Un monde dans lequel les Soros et autres Attali seraient les maîtres à penser incontestés… Un monde dans lequel la Goldman Sachs et les autres institutions financières apatrides feraient la pluie et le beau temps…
Eh bien, il se trouve que ce monde-là, nous n’en voulons pas. Un peu partout en Europe et ailleurs les peuples se réveillent. En Hongrie, en Autriche, en Flandre bien sûr, mais aussi en Italie, en Allemagne, en Grèce et même en Suède, la riposte populaire s’organise et s’amplifie. De manifestations en élections, les mouvements de résistances nationales et identitaires commencent à faire trembler la trahison.
Aujourd’hui, deux conceptions de l’Europe s’affrontent : celle de la soumission, incarnée par Macron, la Merkel et leurs semblables d’un côté et, de l’autre, celle des Droites nationales, sociales, populaires et identitaires qui n’entendent pas laisser l’hégémonie mondialiste asservir les peuples.
La France ne doit pas rester en dehors de cette nouvelle croisade salvatrice. Avec les autres peuples d’Europe nous devons entamer la reconquête de notre continent menacé. Les forces nationales et identitaires doivent se rassembler, nous avons perdu trop de temps. Assez d’égarements, assez d’aveuglement, reprenons en mains notre destin, ne laissons pas mourir la France !
C’est dans cet esprit que nous organisons notre 12eJournée nationaliste et identitaire à Rungis le dimanche 14 octobre 2018. Nous comptons sur votre présence à tous…
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
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mercredi, 22 août 2018
Synthèse nationale n°49 : éditorial de Roland Hélie
Message de Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Un an après l’arrivée à l’Elysée d’Emmanuel Macron, les choses vont de mal en pis.
Alors qu’on nous annonçait une ère nouvelle, débarrassée de la pesanteur des partis et reposant sur le renouveau et l’efficacité, force est de reconnaître que rien ne s’est arrangé. La France reste soumise aux diktats des lobbys mondialistes et les Français continuent à subir les effets dramatiques de la récession et de l’immigration.
A vrai dire, cette situation ne nous étonne pas vraiment, nous autres nationalistes et identitaires. Macron a été propulsé au printemps 2017 pour être la roue de secours du Système. Après la calamiteuse gouvernance hollandesque, consciente que le peuple français était de moins en moins réceptif à ses injonctions, l’hyper-classe aux affaires a lancé le « gadget Macron » pour sauver ses prébendes en l’imposant comme étant le seul « rempart » face à une hypothétique « menace » mariniste.
Macron, en bon transfuge de la Banque Rothschild et en tant qu’ancien ministre d’un gouvernement socialiste, était le meilleur garant de la continuité pour ceux qui veulent instaurer un vaste marché aux dimensions planétaires dans lequel l’homme ne serait plus qu’un consommateur docile. Ce projet passe bien entendu par la destruction des nations, des civilisations et des identités. Quant à la « menace » mariniste, celle-ci relevait, hélas, plus du phantasme collectif que d’autre chose…
Quelle supercherie !
Quoiqu’il en soit, un an après, les Français se réveillent confrontés à une série de problèmes dont ils se seraient bien passés. La précarité augmente de jour en jour, l’insécurité due en grande partie à l’immigration prend des proportions jamais atteintes, la soumission de la France à Bruxelles et à la politique étrangère américaine, en particulier au Proche et au Moyen-Orient, est la même et notre indépendance nationale relève aujourd’hui du passé. Et pour tenter d’amadouer ceux qui seraient tentés de s’opposer, le pouvoir laisse s’agiter le pantin Mélenchon et ses gauchistes de pacotille qui se croient encore en Mai 1968… Face au mondialisme libéral, rien de tel que l’internationalisme marxiste pour faire illusion.
Ce qui semble paradoxal dans tout cela, c’est que, malgré la puissance du Système pour broyer la dissidence et le formatage du prêt à penser institutionnel, jamais les idées de la Droite nationale, sociale, populaire et identitaire ont été aussi partagées par nos compatriotes. Ceux-ci sont de plus en plus nombreux, et on le voit tous autour de nous, à admettre la clairvoyance de nos analyses et à souhaiter l’application de nos propositions. De même, un peu partout en Europe, les peuples reprennent en main leurs destins. Ce n’est donc pas le moment pour nous de flancher, l’espérance doit guider notre combat.
Depuis 12 ans, un seul objectif
Synthèse nationale est, depuis sa création il y a douze ans et comme son nom l’indique, le point de rencontre des différentes forces politiques, militantes et associatives de la Droite nationale. En multipliant les rencontres, que ce soit dans notre revue ou à l’occasion de nos Journées annuelles (la prochaine aura lieu le dimanche 14 octobre à Rungis), nous œuvrons pour que l’ensemble des forces qui constituent notre famille agissent et combattent dans le même sens.
Et, justement, pour agir et combattre nous avons besoin de vous. Les revues, le site quotidien, les réunions et les campagnes militantes, tout cela a un prix. Synthèse nationaleexiste et agit que grâce à l’aide de ses lecteurs et amis. Pour défendre la France française dans une Europe européenne il faut beaucoup de moyens. Or, nous ne som-mes pas stipendiés par la finance apatride ni par les subventions publiques. Nous ne pouvons compter que sur vous tous.
Ne vous laissez plus manipuler, réfléchissez librement, agissez efficacement. Aidez-nous à nous battre contre le mondialisme et contre la dictature de la pensée unique. La survie de notre nation, de notre civilisation et de notre identité en valent bien la peine. Merci d’avance pour votre fidélité.
= Pour nous aider, c’est simple : abonnez-vous à notre revue Synthèse nationale, abonnez-vous aux Cahiers d’Histoire du nationalisme ou à la revue Confrontation consacrée à l’islamisation de notre continent. Achetez les livres que nous vous proposons. Adhérez à l’association des Amis de Synthèse nationale. Faites un don à l’occasion de la souscription patriotique 2018 (voir en dernière page).
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mardi, 06 mars 2018
Samedi 24 mars : 2e dîner annuel de Synthèse nationale à Paris
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Pour comprendre ce qui s'est passé
12:49 Publié dans Livres à lire | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 08 janvier 2018
Vendredi 12 janvier, à Paris
00:34 Publié dans Rendez-vous | Lien permanent | Commentaires (0)
vendredi, 22 décembre 2017
Plusieurs nouveaux livres proposés par Synthèse nationale à lire
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LE DÉCLENCHEMENT D'UNE RÉVOLUTION NE SE DÉCRÈTE JAMAIS LA VEILLE... CELA SE PRÉPARE !
Roland Hélie Directeur de Synthèse nationale
2017 restera sans doute dans les mémoires comme ce que l’on appelle une « année noire » à la fois pour la France et aussi pour la Droite nationale.
En effet, alors que tout avait commencé plutôt sous de bons auspices, les choses se sont très vite dégradées. Usée par le calamiteux quinquennat du non moins calamiteux François Hollande, la France s’apprêtait à tourner allègrement la page de l’aventurisme socialo-boboïsant en élisant un candidat imprévu, François Fillon, qui, sous une allure rassurante de notable provincial, lui donnerait l’impression de rompre avec les excentricités des derniers locataires de l’Elysée. Elle s’apprêtait aussi à laisser à une Marine Le Pen flamboyante le rôle de principale opposante nationale à ce dernier. Tel était le contexte qui était celui du début de l’année… Et patatra, rien de ce qui était prévu n’arriva. Ce fut l’outsider Emmanuel Macron, roue de secours improvisée du Système agonisant, élevé en quelques mois au premier plan de la vie politique grâce aux soutiens financiers et médiatiques de l’oligarchie, qui emporta la mise…
Fillon, victime de sordides affaires financières remontées opportunément à la surface, fut dégagé dès le premier tour et Marine Le Pen, éblouie par le miroir aux alouettes de la respectabilité et achevée par sa pitoyable prestation télévisuelle de l’entre deux tours, ne fit pas vraiment le poids en finale. Les tenants du Système pouvaient, à l’issue de ce printemps électoral fort chargé, être rassurés : tout allait donner l’impression de changer pour que, surtout, rien ne change… Nous avons assisté, en ce début d’année 2017, à un véritable tour de passe-passe politique digne des meilleurs illusionnistes et dont on se serait bien passé car, une fois de plus, notre peuple à raté l’occasion de rompre avec l’idéologie dominante qui la conduit à sa perte.
Tout aurait dû en effet changer car la France en avait assez d’être dirigée par des charlots type Sarkozy ou Hollande pour ne citer qu‘eux, qui donnaient d’elle une image déplorable et qui lui imposait, de quinquennat en quinquennat, encore plus de soumission aux diktats mondialistes. Tout aurait dû changer parce que, partout autour de nous en Europe, face au danger de plus en plus menaçant que représente l’implantation d’une civilisation venue d’ailleurs, on observe une véritable réaction identitaire. Tout aurait dû changer parce que les peuples se rendent compte qu’ils ne sont plus vraiment maître chez eux et que leur avenir est décidé par les conseils d’administration des organismes financiers apatrides qui ont acquis plus de pouvoirs que leurs propres Institutions, fussent-elles démocratiques. Tout aurait dû changer mais, finalement, rien ne changera…
Avec Macron et sa clique de politicards recasés, de plumitifs soumis et de patrons de start up arrogants, la finance mondialisée a de beaux jours devant elle. Les Sorros et autres Attali ont, une fois de plus, gagné la partie. Mais pour combien de temps encore ?
Malgré les « désillusions » du printemps nous sommes de ceux qui continuent à croire que cette déchéance ne sera pas éternelle. Il n’y a pas de fatalité du déclin et la soumission finit toujours par atteindre ses limites. Nous sommes persuadés que, un jour ou l’autre, nos peuples européens se réveilleront et qu’ils reprendront en main leur destin. Mais, hélas, cela n’est pas encore pour demain.
Ces dernières années le mouvement national a été squatté par un leurre qui, peut-être par défaut de convictions, l’a conduit au fond du trou. Lors de notre XIe Journée nationale et identitaire, le 1er octobre dernier à Rungis, Jean-Marie Le Pen, notre invité d’honneur, déplorant avec raison et peut être une certaine amertume l’état actuel du Front national qu’il avait bâti, constatait que celui-ci est aujourd’hui le seul mouvement politique existant qui n’a pas son propre journal. Ce qui est vrai… mais je suis tenté d’ajouter que le Front national a aussi une autre particularité : c’est sans doute le seul mouvement au monde dont la présidente n’a pas les idées. Ce qui explique bien des choses et en particulier la série de revers qu’il vient de subir. En fait, partant de ce constat, on peut considérer que le crash de Marine Le Pen était malheureusement prévisible… Hubert de Mesmay dans son livre (cliquez ici) analyse parfaitement cette chute. Mais cela relève déjà du passé.
Il est temps maintenant de tirer les leçons de ces déconvenues et de remettre le mouvement national en ordre de marche. En réunissant à maintes occasions à la même tribune, ou dans les colonnes de ses publications, toutes les personnalités et les diverses sensibilités de la Droite d’idée, Synthèse nationale répond à sa vocation d’être le ferment du renouveau national dans notre pays. Je dis cela sans aucune vanité car force est de constater que la démarche qui est la nôtre commence à rencontrer un certain succès. Alors que cela était inenvisageable il y a quelques années, nous pouvons nous réjouir de voir agir, si ce n’est ensemble tout du moins dans la même direction, des organisations et des revues aussi diverses que toutes celles qui étaient présentes à Rungis le 1er octobre.
L’époque dans laquelle nous vivons est bien incertaine. Nous savons que le « sens de l’histoire » est une baliverne inventée par les marxistes et que, à tout moment, les choses peuvent changer rapidement. Qui aurait imaginé il y a quelques mois par exemple que le dévoiement de l’identitarisme catalan aurait comme conséquence le renouveau du sentiment national en Espagne ? Qui aurait imaginé il y a quelques années, alors qu’elles étaient asservies par des régimes communistes, que la Hongrie ou la Pologne seraient à l’avant-garde face à la submersion de notre continent ? Les exemples sont nombreux et ils confirment tous la fameuse réflexion de Charles Maurras comme quoi « en politique le désespoir est la pire des sottises ».
Alors Amis et Camarades lecteurs de Synthèse nationalene vous laissez pas décourager par quelques facéties électorales. Le déclanchement des révolutions ne se décrètent jamais la veille de celle-ci. Ils sont l’aboutissement d’un long et fastidieux travail de préparation et de conditionnement des esprits. C’est à cette tâche que nous nous attelons à Synthèse nationale. Et pour la réussir, nous avons besoin de votre aide à tous.
Éditorial du n°47 de la revue Synthèse nationale
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samedi, 26 août 2017
NI SOUMISSION, NI ABANDON, MOBILISATION !
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
L’événement qui a marqué les six premiers mois de l’année 2017 a été, sans nul doute, la surprenante élection présidentielle. Celle-ci s’est en effet déroulée sous nos yeux comme un véritable tour de passe-passe politico-médiatique.
Souvenez-vous… Il y a quelques mois, fin 2016, les tenants du Système prenaient conscience de la fragilité de celui-ci et leur petit domestique élyséen, François Hollande, renonçait piteusement à un second mandat (prouvant ainsi, à la surprise générale, qu’il était capable d’avoir un éclair de lucidité).
Hollande hors jeu, l’oligarchie se rabattait alors derrière le sinistre Juppé voyant en lui le garant de ses intérêts. Mais la vanité de ce dernier lui fut fatale et il se retrouva éliminé des calamiteuses « primaires de la droite et du centre ». Les électeurs « républicains » lui préférant le controversé François Fillon réputé plus conservateur et donc moins satisfaisant pour les thuriféraires de la pensée dominante.
Emmanuel Macron, le joker du Système
Mais, pour palier cette erreur de casting, le Système avait prévu son joker : le sémillant Emmanuel Macron, à la fois coqueluche de la bobocratie et bouée de sauvetage de tous les ratés de la politique. On connaît la suite…
Face à une Marine Le Pen, qualifiée de justesse au second tour, l’ancien conseiller de Hollande n’eut pas de mal à se faire élire Président. Et, aux législatives qui suivirent en juin, tout ce que la gauche et la droite comptaient de has been en mal de reconversion purent facilement envahir les bancs du Palais Bourbon. Le tout, pour mieux servir les intérêts de la haute-finance apatride. Il faut en effet savoir qu’avec Macron et son parti fait de bric et de broc, ce sera encore plus de soumission aux diktats de la finance, ce sera encore plus de brassage des populations, ce sera toujours plus de fiscalité assommante et de lois antisociales, ce sera encore plus de complaisance avec l’écolo business (style Nicolas Hulot) qui nous imposera, entre autres, une multiplication des inutiles éoliennes…
Au plus bas avec Hollande à l’automne, le Système sort au printemps renforcé de cette Présidentielle.
Les soutiens de Macron veulent faire croire que tout avait changé alors qu’en réalité rien ne change vraiment. Bien sûr, un certain nombre de faiseurs qui encombraient le devant de la scène politique depuis trop longtemps ont dégagé, et l’on ne va pas s’en plaindre, mais l’idéologie reste la même, à savoir le mondialisme ultra libéral destructeur des nations et des civilisations. Quant à Marine Le Pen, dans laquelle beaucoup avaient placé leurs espérances, elle a atteint ses limites et elle ne pourra plus prétendre incarner, avec sa poignée de députés, une opposition crédible.
L’échec de la candidature Marine Le Pen était pourtant prévisible
Depuis son accession à la Présidence du Front national en janvier 2011, Marine le Pen s’est évertuée à vouloir lisser l’image de son parti. Pour cela, elle n’a pas hésité à jeter aux orties une partie importante des références idéologiques (les fondamentaux) et à mettre à la porte bon nombre des cadres et militants qui s’étaient, des années durant, dévoués pour la cause. Le cas le plus emblématique étant celui de son propre père, Jean-Marie Le Pen. En se conduisant ainsi, Marine Le Pen espérait accréditer l’idée qu’elle incarnait dorénavant un mouvement national recentré et susceptible d’attirer à lui de nouveaux électeurs. Là fut l’erreur magistrale…
Il faut en effet savoir que depuis une dizaine d’années, nous assistons à la « radicalisation » d’une partie grandissante de nos compatriotes. Chacun peut le constater autour de lui. Prenons un seul exemple : l’année 2013 au cours de laquelle à quatre ou cinq reprises plus d’un million de Français sont descendus dans les rues de Paris pour réclamer le retrait d’une loi (la loi Taubira en l’occurrence) et la démission du gouvernement socialiste. Du jamais vu « à droite »…
Simultanément, les problèmes liés à l’immigration, à l’islamisation et à la perte de notre identité se sont amplifiés ouvrant ainsi les yeux à un nombre croissant de Français. Or, tous ces thèmes étaient, depuis quarante ans, les chevaux de bataille du FN version Jean-Marie. Et il aura fallu quarante ans pour que l’idée selon laquelle le Front est le seul rempart affirmé face à l’immigration entre dans la tête de nos compatriotes. C’est le moment que choisit Marine Le Pen pour mettre en veilleuse ce thème ô combien porteur.
Ainsi, beaucoup d’électeurs potentiels furent désorientés. Dès le premier tour, les résultats n’ont pas été à la hauteur des espérances. Ceux-ci sont à peine supérieurs de deux points à l’addition de ceux de Jean-Marie Le Pen et de Bruno Mégret en 2002. Et nous sommes loin des scores prometteurs (autour de 30 %) obtenus ces dernières années aux différentes élections intermédiaires
Mais le plus grave pour Marine Le Pen, ce n’est pas que ses résultats soient décevants, c’est que dans cette campagne, en particulier au moment du fameux débat avec Macron, elle a perdu sa superbe. Elle s’est elle-même totalement discréditée aux yeux de ceux qui avaient placé en elle leur dernier espoir. C’est sans doute ce qui pouvait lui arriver de pire. Lors de ses précédents revers électoraux, le FN avait toujours trouvé de « bonnes excuses » (le mode de scrutin, les fourberies, souvent présumées, de Pasqua, la présence de dissidents, une demi douzaine de skinheads repérés dans un meeting…) mais là, la vérité est terrible à admettre. Sa défaite ne peut être imputable qu’à lui-même.
Ceux qui la connaissent prétendent aujourd’hui ne pas être surpris ni déçus. Dont acte. Mais si Marine Le Pen n’était pas capable de représenter dignement notre famille d’idée, c’était au moment de « la succession » qu’il fallait faire un autre choix. L’engouement pour Marine était artificiel car il ne reposait que sur une hasardeuse opération médiatique appelée « la dédiabolisation » Or, si dédiabolisation il devait y avoir, cela sous-entendait que le Front était diabolique (CQFD). La force du Front, c’était justement son opposition sans concession au Système. Son « seul contre tous », mais on peut être seul sans être le diable pour autant. Normalisé, le Front n’a plus de raison de progresser.
D’autres essayent de faire retomber la responsabilité de l’échec de Marine sur son principal soutien, Florian Philippot. C’est un peu facile car, reconnaissons-le, celui-ci a toujours été logique avec lui-même. Il se revendique comme étant gaulliste, souverainiste et post chevènementiste donc totalement éloigné de la culture de la Droite nationale, sociale et populaire dont se réclamait, jusqu’à l’arrivée de Marine Le Pen à sa présidence, le Front national. Marine, après lui avoir accordé sa confiance, ne peut s’en prendre qu’à elle-même et en tirer les conclusions qui s’imposent. En recentrant son parti, elle a raté son rendez-vous avec son électorat potentiel qui, lui, était en voie de radicalisation. Face à l’étendue des dégâts, cet électorat a visiblement préféré s’abstenir au second tour de la Présidentielle et aux législatives.
La récré est terminée, il est temps de passer aux choses sérieuses
Quoiqu’il en soit, tout cela fait désormais parti du passé et la triste réalité, c’est que Macron et la clique mondialiste qu’il représente sont bel et bien au pouvoir. Il faut donc réorganiser l’opposition nationale et identitaire, la seule qui ait vraiment une raison d’être. Le moment est venu pour elle de se remette en ordre de bataille.
Le dimanche 1er octobre prochain se déroulera, comme chaque année depuis 11 ans, la XIe Journée de Synthèse nationale à Rungis. Ce sera à nouveau l’occasion pour les différentes organisations, politiques, culturelles, sociétales qui font la richesse de notre famille d’idées de se retrouver pour échanger, en toute liberté, leurs points de vue. Cette XIe Journée, vous en conviendrez revêt une importance particulière dans le contexte actuel. La refondation est en route et sachons que nous n’avons plus le droit à l’erreur.
La Droite nationale et identitaire, c’est l’alternative
Dans ce nouveau contexte, la Droite nationale et identitaire a plus que jamais le devoir de s’imposer comme la seule alternative authentique et crédible capable, le plus vite possible, de relever la France.
Synthèse nationale, depuis 11 ans maintenant, est au cœur du combat pour la France française dans une Europe européenne. Avec ses relais médiatiques (revues, sites, éditions, réseaux sociaux performants, émissions radio en partenariat avec Radio Libertés…) et militants (journées annuelles à Rungis et en province, campagnes d’agitation, associations thématiques…) notre organisation est à l’avant-garde du combat contre le Système.
Les supercheries électorales auxquelles nous venons d’assister doivent nous amener à accentuer notre action si nous ne voulons pas que le processus de soumission et d’abandon continue à anéantir définitivement ce qu’il nous reste de liberté.
Pour cela, nous avons besoin de votre aide à tous. Que ce soit :
- en vous abonnant à nos différentes revues (Synthèse nationale, les Cahiers d’Histoire du nationalisme, Confrontation…),
- en achetant et en diffusant les livres que nous éditons,
- en adhérant à l’Association des Amis de Synthèse nationale, présidée par Jean-Paul Chayrigues de Olmetta,
- en participant à notre souscription patriotique
- en venant, le dimanche 1er octobre à notre XIe Journée nationale et identitaire à Rungis (Val de Marne).
Ainsi, vous nous permettrez d’amplifier notre travail salutaire pour notre nation et pour notre civilisation. Par avance, nous vous remercions pour votre fidélité.
Éditorial du n°46 (ÉTÉ 2017) de la revue Synthèse nationale cliquez ici
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samedi, 12 août 2017
Dimanche 1er octobre à Rungis (94) : XIe Journée de Synthèse nationale
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Le numéro 46 (été 2017) de la revue Synthèse nationale est sorti
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lundi, 12 juin 2017
MERCREDI 21 JUIN, CONFÉRENCE D'ALBAN D'ARGUIN À PARIS
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jeudi, 06 avril 2017
Dimanche 21 mai 2017, Nieppe (près de Lille) : journée régionale de Synthèse nationale
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MACRON OU LA FIN PROGRAMMÉE...
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Editorial du n°45 (Printemps 2017)
Il ne reste plus que quelques semaines avant cette élection présidentielle dont la pré-campagne, et la campagne, nous réservent bien des surprises. Certes, depuis le début de la Ve République, nous savons que les jeux ne sont jamais faits d’avance. Ce qui semble évident six mois avant le scrutin s’avère toujours faux le moment venu. Preuve de la versatilité de notre peuple s’offusqueront les uns ou de l’aveuglement des médias s’exclameront les autres… qu’importe. Il n’y qu’une chose qui est constante, c’est que, de Présidentielle en Présidentielle, le gagnant a toujours été pire que le sortant.
Cette année, nous sommes devant un cas de figure assez curieux. Soucieux que sont les partis institutionnalisés de vouloir accentuer leur image démocratique et voulant sans doute singer l’Amérique, ceux-ci nous ont imposé, à gauche comme à droite, le spectacle pathétique des « primaires ». Car il n’y a rien de tel qu’une primaire pour introduire les divisions dans un parti politique. Regardez-les, ils se sont tous entretués pendant six mois et, maintenant, les disqualifiés passent leur temps à en savonner la planche de ceux qui ont gagné.
Des primaires qui tournent au vinaigre
En plus, c’est hasardeux car dans les deux cas, chez les Républicains comme chez les socialistes, les vainqueurs ne sont pas ceux que le Système aurait voulu. Ni Juppé, ni Sarkozy, ni Valls, ni Montebourg, ces petits valets serviles de l’idéologie dominante n’ont réussit à l’emporter. À chaque fois, c’est un « outsider » qui est arrivé en tête. Benoît Hamon chez les socialistes (mais cela n’a pas beaucoup d’importance vu l’état actuel du PS) et, à « droite », François Fillon, personnage réputé pusillanime qui a été cinq ans Premier ministre de Sarkozy sans que personne ou presque ne s’en souvienne.
Maudite primaire ! Si les gogos commencent à ne plus faire ce que l’oligarchie leur demande, où va-t-on ?
Mais, rassurez-vous, le Système avait son joker : Emmanuel Macron évidemment… Un ancien de la Banque Rothschild reconverti dans le « politique buisness attrape tout » qui, avec sa prudence de banquier, avait justement pris soin d’éviter de passer la case risquée des primaires. Il se retrouve donc promu comme étant le candidat chéri des mondialistes de tous bord. Car avec lui, les mondialistes pourront dormir tranquilles. Il est bien dressé, il saura accélérer le processus de désintégration nationale et de reniement identitaire engagé. Il saura défendre les intérêts des multinationales apatrides et ceux de la haute-finance spéculative aux dépens des peuples et des nations.
Haro sur le Sarthois
Pour les fins stratèges de l’intelligentsia en place (ceux qui jouaient Clinton gagnante, le refus du Brexit et la chute de Bachar…), le calcul est simple : celui qui se retrouvera en deuxième position au premier tour derrière Marine Le Pen (à condition bien sûr que celle-ci soit en tête) à toutes les chances de l’emporter au second. Comme Fillon, par son côté notable provincial et certaines de ses prises de positions iconoclastes, ne répond pas aux critères de la bien-pensance, tout doit donc être mis en œuvre pour qu’il soit recalé en troisième position. Macron contre Marine Le Pen, c’est forcément Macron qui l’emportera croient-ils. Un duel Fillon-Le Pen, dans lequel Macron serait hors jeu, vous n’y pensez pas… Voilà pourquoi, depuis le début janvier, une campagne de presse reposant sur des abus plus ou moins avérés est lancée afin de déstabiliser Fillon. Je ne prétends pas que le Sarthois soit un modèle de vertu, mais force est de constater que ce qui lui est reproché est somme toute assez banal pour un politicien qui a vécu toute sa vie aux crochets de la République.
Mais n’allez surtout pas imaginer que je cherche à le défendre. Même si je lui reconnais un certain panache dans le fait qu’il se soit maintenu en vers et contre tous, à commencer ceux de son propre camp, comme candidat des Républicains, la compassion s’arrêtera là. La manière avec laquelle il a snobé récemment certaines personnalités non conformistes de droite (comme Charles Million et Charles Beigbeder par exemple) qui souhaitaient le soutenir est significative de l’état d’esprit du personnage. En bon gaulliste qu’il est, Fillon a peur d’être classé trop à droite. Il espère sans doute se faire une place au soleil au centre ou ailleurs, mais pas de chance Macron l’occupe déjà.
Et la droite nationale dans tout cela ?
Paradoxalement, c’est au moment où une partie de plus en plus importante de nos compatriotes commence à ouvrir les yeux et à se rendre compte que tout ce que les nationalistes annonçaient depuis des décennies est en train de s’avérer vrai que la candidate qui est sensée représenter notre famille politique adopte un positionnement de plus en plus « clean ». Ce qui est plutôt regrettable.
L’obsession de « la dédiabolisation » a conduit le Font national depuis quelques années à aller à l’encontre des aspirations de son électorat. Heureusement pour lui, ceux qui placent leur dernier espoir en Marine Le Pen ne se sont pas encore vraiment rendus compte de la dérive de son mouvement. C’est d ‘ailleurs peut être mieux ainsi.
Notre peuple, aseptisé par des décennies de culpabilisation et de repentance visant à le rendre honteux de son identité, conditionné par des médias aux ordres champions de la désinformation et accablé par les contraintes d’une existence de plus en plus précaire commence à s’interroger sur l’avenir que lui propose le Système. Il voit dans le FN l’alternative à celui-ci car il ne sait pas que la direction actuelle du FN ne pense qu’à être reconnue par ce Système. On peut toujours rêver…
Quoiqu’il en soit, nous estimons que le vote Marine (additionné à celui en faveur des autres candidats en marges comme Jean Lassalle ou Nicolas Dupont-Aignan) devra être considéré comme un « vote baromètre » qui prouvera le refus grandissant de cette classe politique usée et ternie. Il montrera que les Français sont à la recherche d’une autre voie que celles, éculées, que veut leur imposer le Système.
Vous l’avez compris, Synthèse nationale, en tant que revue, ne donnera pas de consigne à ses lecteurs et amis. Nous savons que la candidate « officielle » de la droite nationale est loin de faire l’unanimité dans notre camp. Cependant, nous sommes aussi conscients de l’enjeu de cette présidentielle. L’élection programmée de Macron serait la pire des choses qui puisse arriver à la France car elle scellerait son asservissement total et définitif au parti de la finance, ce qui, en termes clairs, signifierait la fin de son existence. Et cela nous ne pouvons l’accepter. Eliminer Macron dès le premier tour est donc une priorité absolue, un acte de résistance patriotique et identitaire. Chacun saura, en son âme et conscience, ce qu’il lui reste à faire…
Au-delà de la Présidentielle…
Quel que soit le gagnant du second tour, même et surtout si c’est Macron, nous devrons continuer notre combat. Plus que jamais la France et les Français auront besoin d’une forces nationaliste digne de ce nom. En ce qui nous concerne, à Synthèse nationale, nous continuerons à œuvrer pour l’émergence d’un véritable pôle de rassemblement, fidèle aux fondamentaux qui font la spécificité de notre famille d’idées, résolument tourné vers l’avenir.
Pour l’heure, nous vous donnons à tous rendez-vous comme chaque année à Rungis (94) le dimanche 1er octobre prochain pour notre XIe Journée nationale et identitaire.
22:11 Publié dans Editorial | Lien permanent | Commentaires (0)
Le n°45 de la revue Synthèse nationale (printemps 2017)
Sommaire du N°45 - Printemps 2017
P 2 : Editorial Roland Hélie
P 7 : La démocratie manipulée Patrick Parment
P 12 : Macron, à éliminer sans état d’âme P. Parment
P 15 : Fillon, une carrière en dent de scie P. Parment
P 22 : Voter Marine Le Pen ? Pierre Vial
P 27 : Trump Un homme imprévisible Patrick Parment
P 41 : Entretien Europe Pacifique Fernando Saiech
P 47 : Comprendre le populisme Bernard Plouvier
P 51 : Éoliennes Un scandale d’État Alban d’Arguin
P 55 : Les pages de Jean-Paul Chayrigues de Olmetta
P 58 : Affaire Weidmann Aristide Leucate
P 61 : Entretien sur Joseph Darnand Francis Bergeron
P 64 : Hommage à Michel Déon Patrick Parment
P 69 : Les livres au crible Georges Feltin-Tracol
P 95 : Actualité de l’association Synthèse nationale
Les chroniques et les articles de Jean-Claude Rolinat, Pieter Kerstens, Daniel Cologne, Arnaud Raffard de Brienne, Charles-Henri d’Elloy...
102 pages, 12 €
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22:03 Publié dans La revue Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
mercredi, 04 janvier 2017
SAMEDI 25 FÉVRIER 2017 : BANQUET À PARIS POUR LES 70 ANS DE LA CRÉATION DU MSI
BULLETIN DE RÉSERVATION CLIQUEZ ICI
23:40 | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 13 novembre 2016
Le n°44 (automne 2016) de Synthèse nationale est sorti
Sommaire N°44 Automne 2016
P 2 - EDITORIAL Roland Hélie
P 5 - POPULISME
Le grand méchant loup Pierre Vial
P 10 - EN COUVERTURE
L'inénarrable Monsieur Cazeneuve Patrick Parment
P 20 - TRIBUNE LIBRE
Nice : Cazeneuve préférait protéger une bouffe privée de Hollande Paul Le Poulpe
P 22 - PRESIDENTIELLE
Le Sarko-Zorro est arrivé Pieter Kerstens
P 26 - LE GUD EST DE RETOUR
Il n'est pas mort, il se porte même plutôt bien Rencontre avec Steven Bissuel
P 30 - ELECTION AMERICAINE
Hilary Clinton présidente ? Patrick Gofman
P 38 - CETA
Un pas de plus vers le TAFTA Arnaud Raffard de Brienne
P 42 - CANADA
L'affaire Heritage front Rémi Tremblay
P 51 - BUDAPEST
Quand Paris se levait pour soutenir l'insurrection Lu dans Europe Action
P 62 - LES PAGES DU MARQUIS Jean-Paul Chayrigues de Olmetta
P 67 - REÇU, LU ET APPROUVÉ
Adieu l'argent roi Jean-Claude Rolinat
P 72 - LES LIVRES AU CRIBLE Georges Feltin-Tracol
P 83 - BIOGRAPHIES LITTERAIRES Daniel Cologne
P 88 - LA CHRONIQUE Charles-Henri d'Elloy
P 93 - SYNTHESE NATIONALE
La vie de l'association - Les 10 ans de la revue
N° 44 - Automne 2016
102 pages, 12 €
à commander à :
Synthèse nationale 9, rue Parrot CS 72809 75012 Paris (correspondance uniquement)
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13:30 Publié dans La revue Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 10 octobre 2016
La Xe Journée de Synthèse nationale, dimanche 2 octobre dernier à Rungis
23:47 Publié dans NDP TV | Lien permanent | Commentaires (0)
jeudi, 15 septembre 2016
Dimanche 2 octobre 2016 : TOUS À RUNGIS À LA Xe JOURNÉE DE SYNTHESE NATIONALE
22:53 Publié dans Rendez-vous | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 24 juillet 2016
Parution du n°43 de Synthèse nationale (été 2016)
Au sommaire :
P 2 : EDITORIAL - Roland Hélie
P 6 : BREXIT - Le peuple contre les élites Patrick Parment
P 12 : BREXIT - Cauchemar ou bénéfice pour les vrais Français Dr Bernard Plouvier
P 17 : BEZIERS - Et alors ? Georges Feltin-Tracol
P 24 : HALAL - Le Business tourne à plein régime Arnaud Raffard de Brienne
P 32 : AUTRICHE - Le vent du boulet Pierre Vial
P 34 : AUTRICHE - Un entretien avec Roland Hélie avec Philippe Randa
P 35 : MEDIA - EuroLibertés, Radio Libertés... le groupe Libertés étend son audience...
P 36 : ITALIE - Comment la Droite nationale fût assassinée ? Massimo Magliaro
P 43 : ITALIE - Etat des décombres du MSI Guirec Sèvres
P 47 : BOUSQUET SUR FOUCAULT - Quand on déglingue une idole de la gauche Patrick Parment
P 51 : 1966 - 1968 Approche historique de la chienlit occidentale Dr Bernard Plouvier
P 60 : SOCIETE Emasculation de la société française Charles-Henri d'Elloy
P 65 : ECONOMIE N'était-ce pas mieux avant ? Pieter Kerstens
P 69 : Le GRAND REMBARQUEMENT Entretien avec Emmanuel Albach
P 73 : LES PAGES DU MARQUIS la chronique de Jean-Paul Chayrigues de Olmetta
P 82 : LES LIVRES AU CRIBLE Georges Feltin-Tracol
P 102 : SPORT FOOT ET MOI LA PAIX Charles-Henri d'Elloy
P 108 : SYNTHESE NATIONALE PRESENT PARTOUT
Ainsi que de nombreuses autres rubriques...
118 pages - 12 €
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07:46 Publié dans La revue Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0)
dimanche, 12 juin 2016
Dimanche 2 octobre prochain : Xe Journée de Synthèse nationale
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12:56 | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 19 avril 2016
Dimanche 24 avril à Nieppe (près de Lille) : la journée régionale annuelle de Synthèse nationale
20:03 Publié dans Rendez-vous | Lien permanent | Commentaires (0)
La nouvelle collection "Pourquoi ?" lancée par Synthèse nationale : "La Syrie bassiste plutôt que l'Etat islamique"...
Synthèse nationale lance une nouvelle collection : la collection "POURQUOI ?". Alors, pourquoi cette collection ? Pour donner aux militants et sympathisants de la cause nationale des arguments dans le combat qu'ils mènent quotidiennement pour rétablir la vérité face au rouleau compresseur de la presse asservie à la pensée dominante. Chaque livre de cette collection sera consacré à un sujet d'actualité et développera des arguments permettant d'aider à une meilleure compréhension de celui-ci. Ces ouvrages sont collectifs et, fidèles à la vocation qui est celle de Synthèse nationale, ils donnent la parole à des personnalités qui connaissent bien les problèmes abordés.
Ainsi, le premier tome, qui sortira à l'occasion de la journée lilloise de Synthèse nationale du dimanche 24 avril prochain cliquez ici,sera consacré au conflit qui ensanglante la Syrie depuis quelques années. Son titre : "La Syrie baasiste plutôt que l'Etat islamique...". Vous retrouverez des contributeurs réguliers de Synthèse nationale, comme Georges Feltin-Tracol, Jean-Claude Rolinat, Serge Ayoub, Nicolas Tandler, ainsi que des personnalités qui connaissent bien le problème pour l'avoir suivit de près comme Elisa Bureau, responsable de SOS Chrétiens d'Orient, Emmanuel Albach, ancien combattant volontaire français aux côtés des Phalangistes libanais en 1976, Martial Roudier, de l'excellent site Languedoc-info qui nous tient régulièrement informés sur l'évolution du conflit, ou Stéphane Wulleman qui vient d'effectuer plusieurs voyages en Syrie, et quelques autres.
Vous pouvez dès maintenant commander ce livre (150 pages, 20 €) à Synthèse nationale. Un outil indispensable pour mieux comprendre les sources et la réalité de cette guerre importée en Syrie par l'étranger et dont l'Europe supporte de plus en plus mal les conséquences dramatiques.
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19:56 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0)