Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 23 avril 2014

Ukraine-Russie, ce conflit nous concerne-t-il ?

Logo_present.pngTexte de la Tribune libre de Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale, publiée dans le quotidien Présent cliquez ici du mercredi 16 avril dernier.

Les événements qui se déroulent depuis quelques mois en Ukraine ont entrainé, surtout sur les réseaux sociaux, un débat animé au sein de notre famille d’idées. Cela est bien naturel et à le mérite de prouver, à ceux qui en doutaient, que les nationalistes français sont attentifs à ce qui se passe dans le reste de l’Europe. Les uns, au nom d’une vision romantique des choses soutiennent l’insurrection ukrainienne, tandis que les autres, par réalisme géopolitique et sans doute par admiration pour le style « direct » du Président Poutine, épousent la cause de la Russie.

Tout cela nous amène à quelques observations.

D’abord, force est d’admettre que les deux points de vue sont compréhensibles et il est dommage que certains en arrivent à s’insulter pour défendre celui qu’ils ont choisi.

Les nationalistes ukrainiens, et le peuple ukrainien dans son ensemble, ont souffert, c’est indéniable, du joug soviétique pendant plus de 70 ans. Cela à tel point qu’une partie n’a pas hésité dans un premier temps à se ranger aux côtés des forces de l’Axe pendant la Seconde Guerre mondiale. Mais, au début, les raisons du soulèvement de l’hiver dernier sétaient certainement plus à mettre sur le compte d’un refus des pouvoirs ukrainiens corrompus et incapables qui se sont succédés depuis l’indépendance, et sur celui de la misère sociale qui gangrène ce pays, que sur celui de la rancune envers les Russes. Même si celle-ci demeure vivace.

En tant que Français attachés à notre pays et en tant qu’Européens fiers de notre civilisation, nous pouvons comprendre les motivations des insurgés du Maïdan. Le problème c’est que ces motivations ne sont pas forcément les mêmes que celles de ceux qui ont tout intérêt à ce que l’Ukraine se détache de l’influence russe et qui œuvrent en sourdine depuis longtemps dans ce sens.

La sincérité ne doit pas engendrer la naïveté

J’ai pu le constater par moi-même, les nationalistes ukrainiens font parfois preuve d’une certaine candeur. J’ai eu l’occasion il y a un an, à Paris, de rencontrer des responsables de Svoboda, le principal parti nationaliste ukrainien. Sans douter un instant de la sincérité de ces gens, j’ai été frappé par leur fascination, frisant la naïveté, pour l’Union européenne. Leur vision du monstre bruxellois était totalement tronquée. Ils plaçaient toutes leurs espérances dans la reconnaissance par Bruxelles de leur action. Je suis resté sceptique suite à cette rencontre. Néanmoins, comme quoi en politique il ne faut jamais écarter « l’imprévu », quelle ne fut pas ma surprise de voir que, suite à la révolution, deux de mes interlocuteurs d’alors font désormais parti du nouveau gouvernement. Cela dit, il ne faut pas se leurrer. L’Europe, une fois qu’elle se sera bien servie des patriotes ukrainiens contre la Russie, se débarrassera d’eux vite fait car leur idéologie est malgré tout diamétralement opposée à ses projets mondialistes

Parlons maintenant de la position de la Russie de Vladimir Poutine.

Celle-ci estime, à juste titre, que l’Ukraine est « son berceau ». Elle ne peut en aucun cas laisser se développer, à ses frontières, des Etats qui lui seraient foncièrement hostiles. Ce d’autant plus que cela risquerait de faire « tache d’huile ».

La Russie est actuellement, malgré tous ses défauts, l’un des meilleurs remparts face aux intentions belliqueuses et aux menées hégémoniques de l’Empire de la Haute finance apatride. Qu’on le veuille ou non, la Russie d’aujourd’hui n’est pas l’URSS d’hier. Nous ne tomberons donc pas, bien évidemment, dans le piège tendu par les lobbys droits-de-l’hommistes stipendiés par les Fondations mondialistes qui voudraient faire passer Poutine pour un nouveau Staline. Les maîtres du Nouvel Ordre mondial croyaient en avoir fini, au lendemain de la chute du Mur de Berlin, avec l’Union soviétique. Ils pensaient que la Russie allait devenir une puissance déliquescente dirigée par des mafieux ou des ivrognes type Boris Eltsine. Ils se sont lourdement trompés car ils n’avaient pas imaginés l’émergence d’un Poutine capable, en quinze ans, de redonner à son pays sa fierté, comme on a pu le constater à l’occasion des magnifiques Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi, et de lui offrir à nouveau une place essentielle dans le monde. Ce renouveau de la Russie peut, légitimement, susciter une grande sympathie auprès des patriotes français écœurés de voir leur pays « dirigé » par une bande de baudruches incapables.

Ne pas se tromper de combat

Nous le voyons, chacun peut trouver de nombreuses bonnes raisons de soutenir un camp ou un autre. Mais, est-ce bien à nous, nationalistes français et identitaires européens, de nous immiscer dans ce conflit qui, quoiqu’en disent tous les va-t’en-guerre de la terre style BHL, ne nous concerne pas vraiment ?

Notre rôle ne serait-il pas, plutôt, de chercher à apaiser ces antagonismes qui ne peuvent que servir les projets fumeux de ceux qui veulent justement anéantir les nations ?

Louis XIV, pour expliquer sa politique étrangère, disait que « la France n’a pas d’amis ni d’ennemis, elle n’a que des intérêts ». C’est ainsi que les nationalistes français, qui sont sensés mettre l’intérêt national au-dessus de tout, devraient voir les choses aujourd’hui. Plutôt que s’entredéchirer à propos de ce conflit qui, finalement, concerne avant tout les Ukrainiens et les Russes, ne serait-il pas plus judicieux de s’interroger sur ce qui sert le plus notre pays ?

La réalité, en France comme dans la plupart des pays, c’est que ce sont justement des gouvernements inféodés à la politique mondialiste qui sont aux affaires. Alors, ne nous trompons pas de combat. Au lieu de s’entredéchirer sur la question ukrainienne, les nationalistes français doivent se mobiliser totalement contre le Système qui, ici comme ailleurs, veut détruire notre nation et notre civilisation.

Or, face à ce Système, force est de reconnaître que la Russie, dans l’état actuel des choses, est un allié nécessaire.

jeudi, 17 avril 2014

Le n°35 de Synthèse nationale en vente à Paris :

sn35 ventes.jpg

Bulletin d'abonnement cliquez ici

Abonnez-vous en ligne cliquez là

lundi, 14 avril 2014

150 personnes ont assisté à la 2e Journée régionale Flandre Artois Hainaut de Synthèse nationale dimanche à Nieppe...

DSC03965.JPG

Public nombreux, beaucoup durent rester debout

pour écouter les discours.

Plus de 150 personnes sont venues dimanche à la Ferme de l'Epinette à Nieppe assister à la 2e journée régionale Flandre Artois Hainaut de Synthèse nationale. Organisée d'une main de maître par Luc Pécharman et sa sympathique équipe du Nord, cette journée s'est déroulée sans incident majeur malgré les piteuses tentatives d'intimidations (menaces et graffitis signés Antifa) des valets locaux du Système.

De nombreux stands politiques (Terre et peuple, Militant, MAS, Parti de la France, Nation, NDP et Synthèse nationale...), des librairies, un service de restauration rapide et un bar où régnait une ambiance conviviale, de franche camaraderie, qui caractérise les journée de Synthèse nationale.

Cette journée fut l'occasion rêvée pour présenter à nos amis le premier numéro des Cahiers d'Histoire du nationalisme, la nouvelle publication lancée sous l'égide de Synthèse nationale. De nombreux abonnements ont été enregistrés ce qui confirme que cette revue répond à un besoin de la part des militants et sympathisants de la cause nationaliste.

Deux séries d'interventions se succédèrent au cours de l'après-midi. La première, animée par Luc Pécharman, aborda, quelques semaines avant les élections européennes, le thème de l'Europe. Robert Spieler, ancien député, fondateur de la NDP et chroniqueur apprécié de l'hebdomadaire Rivarol, et Kris Roman, responsable des relations extérieures du mouvement belge francophone Nation, intervinrent à ce moment là.

Puis ce fut la seconde série d'interventions au cours de laquelle le public écouta avec attention les discours d'Arnaud Raffard de Brienne, essayiste et collaborateur régulier de notre revue, Arnaud de Robert, porte parole du Mouvement d'action sociale, Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France, Gabriele Adinolfi, Président de l'Institut Polaris, venu spécialement de Rome pour l'occasion, et Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, à qui il revenait de conclure cette belle journée.

Nous reviendrons dans le détail sur cette réunion dans les jours qui viennent.

DSC03974.JPG

Gabriele Adinolfi, au cours de sa brillante intervention

 DSC03951.JPG

Robert Spieler, Luc Pécharman et Kris Roman

DSC03954.JPG

Le bar, un lieu de retrouvailles incontournable

sn 2.jpg

Thomas Joly et Roland Hélie

mardi, 08 avril 2014

Bilan des municipales...

index.jpgPierre Vial

Président de Terre et peuple

Un taux d’abstention encore jamais vu, les bons résultats du FN, le désaveu cinglant infligé au PS, y compris de la part d’électeurs votant habituellement à gauche : les municipales ont marqué un rejet clair et net du Système en place par une partie importante de la population. C’est pour nous, évidemment, une source de satisfaction.

Face à cette Bérézina, Hollande s’est raccroché à la branche Valls, sur le thème du changement. Mais la presse n’est pas dupe du jeu des chaises musicales (on prend les mêmes et on recommence, en changeant leur dossard… vieille pratique de la IIIe et IVe Républiques). « Ayrault bis » titre Libération , « Hollande…ne change rien » (Le Figaro), « Changement a minima » ( La Croix), « Recyclage » ( Metronews ), « La nouveauté ne crève pas l’écran » (Ouest-France ), « Comme un air de déjà vu » (Midi-Libre ), « Banale reconduction » (La Montagne ), « Tout ça… pour ça » (L’Est Républicain ). Bref, un flop.

En installant Valls, Hollande joue gros car il se met à dos la gauche du PS, l’extrême gauche, les écolos… pour ne parler que des gens censés être dans son camp. Pour les autres, les gogos de droite qui ont voulu croire au numéro de Valls jouant les « Monsieur Sécurité »,  beaucoup ont fini par ouvrir les yeux devant le bilan calamiteux de l’ex-ministre de l’Intérieur : les chiffres donnés par l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales  (ONDRP) montrent une augmentation des vols, des cambriolages, des effractions et des actes de violence ces deux dernières années.

Valls, plus encore qu’on Hollande social-démocrate rallié au capitalisme, est un socialo-libéral, c'est-à-dire quelqu’un qui se moque en fait du socialisme et joue la carte libérale car il l’estime la meilleure pour son plan de carrière (inspiré en cela par son épouse juive).

Pourquoi, réellement, Hollande a-t-il choisi Valls ? Hollande voudrait bien être un aussi fidèle disciple de Machiavel que Mitterrand. Donc, sachant que Valls le menace directement pour la prochaine présidentielle,  il veut lui savonner la planche. Par exemple en lui lançant dans les pattes la Taubira : cette hystérique va forcément provoquer nombre de nuits blanches à Valls (lequel, ne nous y trompons pas,  est aussi haineux que la mégère à l’égard de tout ce qui est identitaire, enraciné, gaulois).

Compte tenu du poids des réalités (augmentation du chômage, de l’immigration, de l’insécurité) le tandem Hollande-Valls va droit dans le mur. Les mois qui viennent vont être intéressants.

vendredi, 04 avril 2014

Dimanche 13 avril, à Lille, 2e Journée régionale de Synthèse nationale

1832634825.jpg

3062157824.jpg

Le gouvernement Valls : un gouvernement de combat qui sera combattu !

3385095964.jpgYves Darchicourt

On prend (presque) les mêmes et on continue ! Il n'y a que les rats écolos à avoir quitté le navire voué à la perdition. Sinon rien de nouveau sous le soleil gouvernemental après le jeu des chaises musicales qui a envoyé les incompétents ou les insignifiants d'un ministère à l'autre dans une unique perspective de dosage entre les divers "courants" du PS. Ainsi Manuel Valls est censé faire mieux dans le rôle de "Monsieur le Premier" qu'au ministère de l'Intérieur où il a piteusement échoué et où il sera remplacé par Bernard Cazeneuve qui lui-même n'a guère brillé aux affaires européennes puis au budget; ou encore Michel Sapin qui n'a pas pu empêcher le chômage de croître et embellir et qui est paraît-il subitement devenu le recours indispensable aux Finances. Quant à l'arrivée imposée de l'ex rombière de François le Normal...

Bref, un gouvernement à l'image des participants à un congrès du PS, un conglomérat de chapelles, un essaim d'ambitieux, de faux potes et vrais rivaux dans la course aux privilèges des sinécures. Sourires de façade et coups de pied de l'âne. Véritable marmelade où le gaulois de base ne se retrouve pas et qui n'est pas fait pour redorer le blason des politicards désormais systématiquement boudés par plus du tiers des citoyens en l'attente des "jours de colère". Vincent Peillon s'est fait virer pour complaire aux syndicats enseignants, tant mieux pour nos enfants même s'il est peu probable que le Hamon renonce à les faire pervertir par les anormaux de la "théorie du genre". Fabius, toujours aussi responsable pas coupable, garde son ministère, ce qui ne peut qu'être apprécié à Tel-Aviv, chez Obama, parmi les eurocrates, les galonnés de l'Otan et les rois nègres. Quant à l'ignoble Taubira, elle reste en place: on ne sait pas trop pourquoi puisque Manuel Gaz ne peut pas la pifer et que c'est réciproque...ambiance! il s'agissait sans doute de contrebalancer la fausse réputation "droitière" du gandin dans la population allogène du pays en continuant à discriminer positivement l'afro-française et de calmer l'aile gauche du PS et son militant Syndicat de la Magistrature qui pourra continuer impunément à "dire le droit" à l'encontre exclusivement des blancs, des européens, des souchiens, des patriotes, des nationaux, des solidaristes, des identitaires, de ceux qui possèdent un peu parce qu'ils ont travaillé et cotisé, de ceux qui se défendent contre la racaille ou simplement qui ne veulent pas baisser les yeux devant l'envahisseur allogène, de ceux qui pensent que la famille naturelle est une des bases essentielles de notre civilisation. Quant aux autres... toujours la même caste d'interchangeables : excellents en tous domaines? non inconsistants et profiteurs partout !

Un gouvernement "de combat" qui s'acharnera contre la France gauloise et l'Europe européenne. Un gouvernement, toujours aussi "ripoublicain", qui sous l'impulsion de son "Monsieur le Premier" sera celui de la dictature rampante, de la répression, de l'atteinte aux libertés fondamentales, de la censure, du bourrage de crâne, de l'Histoire expurgée, revisitée et officialisée, de l'indignation à géométrie variable, du laïcardisme outrancier quand il est anti-chrétien et surtout cathophobe, de l'invasion migratoire exotique et de l'Islamisation, du métissage obligatoire, de la racaille réinserée aux frais des victimes, du taulard trois étoiles, de l'anormalité sexuelle et de la perversion hissées au rang d'art de vivre, des traditions bafouées. Un gouvernement dont le chef a reçu l'investiture du Congrès Juif Mondial, c'est à dire aussi de la Trilatérale et autres sectes du Nouvel Ordre Mondial : appui assuré des fortunes anonymes et vagabondes et de certain lobby qui n'existe pas pour peu que le (pseudo ?) descendant de maranes naturalisé continue à se faire l'agent artistique du "Shoah Business" et du mémoriel sélectif.

Pour tout dire, un gouvernement dit de combat qui doit être et sera combattu. Par tous les moyens... Même légaux ! Rassemblement Résistance Reconquête !

mardi, 01 avril 2014

Une nouvelle publication lancée par Synthèse nationale : "Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme"...

Cahiers-d-histoire.couv_1.jpg

Ne laissons plus les autres falsifier notre Histoire.

Une nouvelle revue pour rétablir la vérité…

Roland Hélie

Directeur de Synthèse nationale

Un peuple qui ne connaît pas son Histoire est un peuple condamné… Il en va de même pour une famille politique.

Beaucoup pensent, ou voudraient penser, que la Droite nationale est née comme cela, il y a quelques décennies, telle une génération spontanée, de la conjugaison d’une crise latente et de la volonté de quelques hommes de qualité. En réalité, l’émergence de la Droite nationale (et nationaliste) au début des années 80, que ce soit en France où un peu partout en Europe, est la résultante de toute une histoire, faite de héros et d’événements, de périodes exaltantes et d’autres plus sombres, que beaucoup de militants d’aujourd’hui ignorent, hélas, trop fréquemment.

Les expériences du passé permettent de mieux comprendre ce qui se passe aujourd’hui. Celles-ci peuvent être enrichissantes si elles sont bien comprises. Le monde change en permanence, les enjeux évoluent, mais nombre de réalités demeurent constantes. S’il est important de ne pas rester les yeux rivés sur un passé, adulé ou honni, il ne faut pas pour autant rejeter complètement celui-ci.

Nos adversaires, et aussi parfois nos amis, ont une vision manichéenne des choses qui leur interdit d’être objectifs. Notre devoir est de rétablir la vérité, même si celle-ci n’est pas toujours aussi heureuse qu’on le souhaiterait. C’est dans l’intérêt des combats que nous menons actuellement.

C’est dans cet esprit que la revue Synthèse nationale, que je dirige depuis sa création il y a maintenant 8 ans, a décidé de lancer Les Cahiers d’Histoire du nationalisme, cette nouvelle publication que vous aurez bientôt entre vos mains. Elle est destinée à faire connaître, aux militants de la cause nationaliste bien sûr, mais aussi au plus grand nombre de nos compatriotes, les hommes et les femmes, ainsi que les grands faits, qui ont marqués l’histoire, souvent ignorée et trop souvent caricaturée, de notre famille politique.

Régulièrement, à chaque livraison, Les Cahiers d’Histoire du nationalisme aborderont un thème, qu’il s’agisse de la vie et du combat d’un personnage historique, comme c’est le cas dans le premier numéro qui sort à l’occasion du vingtième anniversaire de la disparition de Léon Degrelle, d’une période au cours de laquelle les nationalistes ont joué un rôle important ou encore celle d’un mouvement ou d’une organisation qui a marqué son temps. Bref, ce ne sont pas les thèmes ni les sujets qui manquent...

Pour ce premier numéro, nous avons demandé à notre ami Christophe Georgy, le dynamique Président de l’Association des Amis de Léon Degrelle, donc fin connaisseur de cette épopée fantastique que fut la vie du fondateur du rexisme belge, de rassembler les témoignages sur ce personnage mythique qui ne laissait pas insensibles ceux qui, admirateurs ou détracteurs, ont eu l’occasion de l’approcher. Léon Degrelle nous a quitté il y a tout juste 20 ans, le 31 mars 1994. Il nous a semblé utile de rappeler, à travers ces diverses contributions, qui il était, ce que furent ses idées et son combat, ainsi que l’aventure héroïque qui fut la sienne.

Et puis, d’autres numéros suivront. La deuxième livraison, prévue pour mai, traitera du nationalisme révolutionnaire de François Duprat, autre personnage mythique du Panthéon nationaliste… Un autre numéro, consacré au Maréchal Mannerheim, chef de la Finlande des années 40, qui mena la vie dure à la sanguinaire Armée soviétique qui tentait d’annexer son pays, est en préparation…

Une dernière chose : pour pérenniser cette nouvelle collection et pour que vous ne manquiez pas un numéro, nous vous proposons la classiques formule de l’abonnement (voir PJ). Celle-ci, indépendante de l’abonnement à Synthèse nationale, vous permettra de recevoir, à un prix attractif de lancement (95,00 €, franco de port, au lieu de 110,00 €, valable jusqu'au 30 avril), chaque numéros des Cahiers d’Histoire du nationalisme dès leur parution.

Cette entreprise a pour objectif de rétablir la vérité sur notre histoire. Il était urgent de la lancer. Aujourd’hui, c’est chose faite. Nous savons que nous pouvons compter sur votre aide et sur votre fidélité pour la continuer…

Ce 1er volume consacré à Léon Degrelle, réalisé sous la direction de Christophe Georgy, comprend une très bonne biographie, les textes de Francis Bergeron, Pierre Vial, Jean-Yves Dufour, Alexandre Gabriac, Camille Galic, Joël Laloux, Fernand Kaisergruber, Michael Hemday, Armand Gerard, Alberto Torresano, Edwige Thibaud, Henri de Fersan, Yvan Benedetti, Pierre Gillieth et Saint-Loup ; des dessins inédits de Godus, Ignace, Peper et Korbo et un cahier photo...

Achat du n°1 en ligne cliquez là

Abonnez-vous en ligne cliquez ici

Bulletin d'abonnement cliquez ici

Jean-Claude Rolinat réélu !

IMG_0131 -Copier-.JPGNotre ami et collaborateur Jean-Claude ROLINAT, ancien conseiller municipal Front national de Villeneuve la Garenne, Hauts-de-Seine, de 1977 à 2002, vient pour la troisième fois consécutive d'être élu Premier-adjoint au Maire de son village, en Seine-et-Marne. Bien que ce Conseil municipal soit classé "sans étiquette", gageons qu'à chaque fois que se présentera le cas, il saura défendre nos idées, bien que le champ des capacités d'intervention des communes rurales, avec l'extension des intercommunalités, soit limité.