mardi, 21 juillet 2015
Sortie du n°40 (été 2015) de la revue Synthèse nationale
Au sommaire :
Edito de Roland Hélie : UN AUTRE MONDE EST POSSIBLE !
Guirec Sèvres : LA CRISE DU FN EST PLUS IDEOLOGIQUE QUE LES PRECEDENTES
Enjeux démographiques, déferlante migratoire, conflits internationaux, récupération des attentats de janvier, atteintes aux libertés, crise au Front national...
UN GRAND ENTRETIEN
AVEC JEAN-MARIE LE PEN
Patrick Parment: LE CAS GREC
Rencontres : HERVE VAN LAETHEM, porte-parole du mouvement identitaire wallon Nation
Jean-Claude Rolinat : EUROPE : QUE FAIRE FACE AU TSUNAMI MIGRATOIRE ?
Gabriele Adinolfi : Les propositions de l'Institut Polaris
Arnaud Guyot-Jeannin : Réponse à Aymeric Chaparde sur "la présence d'une 5e colonne islamiste en France"
Pieter Kerstens : La saga de l'Oncle Sam, chapitre XXX
Francis Bergeron :
De Chard à Konk, en passant par Aramis et Pinatel
DES DESSINATEURS DE PRESSE PAS DU TOUT "CHARLIE"
Robert Spieler : DES REVELATIONS SUR LES ECOLES PRIVEES
Omer de Marmara : Pierre-Antoine Cousteau forçat de la littérature
Georges Feltin-Tracol : Les livres au crible
Jean-Paul Chayrigues de Olmetta : Les pages du Marquis, PARIS MOSQUEE
Serge Ayoub : "Un Français" PAS SI MAUVAIS
Charles-Henri d'Elloy : Je déteste Roland Garros
Synthèse nationale : LILLE, POITIERS, PARIS activités de l'association...
RENDEZ-VOUS DIMANCHE 11 OCTOBRE A RUNGIS (94)
IXe JOURNEE NATIONALISTE ET IDENTITAIRE
N°40 - ETE 2015 :
120 pages, 12 € (+ 3 € de port)
Abonnement : 6 numéros : 50 € , soutien : 100 €, Europe : 60 €, reste du monde : 70 € - Chèque à l'ordre de Synthèse nationale
A commander à : Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris (correspondance uniquement)
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samedi, 25 avril 2015
SORTIE DU N°39 (Avril-Mai 2015) DE LA REVUE SYNTHESE NATIONALE
112 pages - 12 €
AU SOMMAIRE :
● Contre le Système : devoir de dissidence ! Roland Hélie
● Tentative d’assassinat à Anvers contre Filip Dewinter
● Temps obscurs, avenir incertain… Patrick Parment
● Moi je mange à la cantine… Marc Vidal
● Pour en finir avec «Charlie» Charles-Henri d’Elloy
● En finir avec le pseudo «islamo fascisme» Guirec Sèvres
● Entretien avec Carl Lang Propos recueillis par Anne Ravinet
● Aviation : une Europe qui gagne ! Jean-Claude Rolinat
● Faut-il sacrifier le dimanche au profit des marchands
et du « vivre-ensemble » ? Arnaud Raffard de Brienne
● « La saga de l’oncle Sam » Pieter Kerstens
● Les pages du Marquis Jean-Paul Chayrigues de Olmetta
● Livres : Quand le Marquis se met à table… Aramis
● Jacques Laurent revient, et c’est tant mieux Francis Bergeron
● Mannerheim, le Maréchal qui sauva la Finlande Robert Spieler
● Lectures au crible Georges Feltin-Tracol
● Dynastie luxembourgeoise, les «anti modernes» ?
● Errements et grandeur des Bourbon Parme
● L’actualité de Synthèse nationale
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6 numéros : 50 € - Europe : 60 €
Reste du monde : 70 € - Soutien : 100 €
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mercredi, 23 avril 2014
Ukraine-Russie, ce conflit nous concerne-t-il ?
Texte de la Tribune libre de Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale, publiée dans le quotidien Présent cliquez ici du mercredi 16 avril dernier.
Les événements qui se déroulent depuis quelques mois en Ukraine ont entrainé, surtout sur les réseaux sociaux, un débat animé au sein de notre famille d’idées. Cela est bien naturel et à le mérite de prouver, à ceux qui en doutaient, que les nationalistes français sont attentifs à ce qui se passe dans le reste de l’Europe. Les uns, au nom d’une vision romantique des choses soutiennent l’insurrection ukrainienne, tandis que les autres, par réalisme géopolitique et sans doute par admiration pour le style « direct » du Président Poutine, épousent la cause de la Russie.
Tout cela nous amène à quelques observations.
D’abord, force est d’admettre que les deux points de vue sont compréhensibles et il est dommage que certains en arrivent à s’insulter pour défendre celui qu’ils ont choisi.
Les nationalistes ukrainiens, et le peuple ukrainien dans son ensemble, ont souffert, c’est indéniable, du joug soviétique pendant plus de 70 ans. Cela à tel point qu’une partie n’a pas hésité dans un premier temps à se ranger aux côtés des forces de l’Axe pendant la Seconde Guerre mondiale. Mais, au début, les raisons du soulèvement de l’hiver dernier sétaient certainement plus à mettre sur le compte d’un refus des pouvoirs ukrainiens corrompus et incapables qui se sont succédés depuis l’indépendance, et sur celui de la misère sociale qui gangrène ce pays, que sur celui de la rancune envers les Russes. Même si celle-ci demeure vivace.
En tant que Français attachés à notre pays et en tant qu’Européens fiers de notre civilisation, nous pouvons comprendre les motivations des insurgés du Maïdan. Le problème c’est que ces motivations ne sont pas forcément les mêmes que celles de ceux qui ont tout intérêt à ce que l’Ukraine se détache de l’influence russe et qui œuvrent en sourdine depuis longtemps dans ce sens.
La sincérité ne doit pas engendrer la naïveté
J’ai pu le constater par moi-même, les nationalistes ukrainiens font parfois preuve d’une certaine candeur. J’ai eu l’occasion il y a un an, à Paris, de rencontrer des responsables de Svoboda, le principal parti nationaliste ukrainien. Sans douter un instant de la sincérité de ces gens, j’ai été frappé par leur fascination, frisant la naïveté, pour l’Union européenne. Leur vision du monstre bruxellois était totalement tronquée. Ils plaçaient toutes leurs espérances dans la reconnaissance par Bruxelles de leur action. Je suis resté sceptique suite à cette rencontre. Néanmoins, comme quoi en politique il ne faut jamais écarter « l’imprévu », quelle ne fut pas ma surprise de voir que, suite à la révolution, deux de mes interlocuteurs d’alors font désormais parti du nouveau gouvernement. Cela dit, il ne faut pas se leurrer. L’Europe, une fois qu’elle se sera bien servie des patriotes ukrainiens contre la Russie, se débarrassera d’eux vite fait car leur idéologie est malgré tout diamétralement opposée à ses projets mondialistes
Parlons maintenant de la position de la Russie de Vladimir Poutine.
Celle-ci estime, à juste titre, que l’Ukraine est « son berceau ». Elle ne peut en aucun cas laisser se développer, à ses frontières, des Etats qui lui seraient foncièrement hostiles. Ce d’autant plus que cela risquerait de faire « tache d’huile ».
La Russie est actuellement, malgré tous ses défauts, l’un des meilleurs remparts face aux intentions belliqueuses et aux menées hégémoniques de l’Empire de la Haute finance apatride. Qu’on le veuille ou non, la Russie d’aujourd’hui n’est pas l’URSS d’hier. Nous ne tomberons donc pas, bien évidemment, dans le piège tendu par les lobbys droits-de-l’hommistes stipendiés par les Fondations mondialistes qui voudraient faire passer Poutine pour un nouveau Staline. Les maîtres du Nouvel Ordre mondial croyaient en avoir fini, au lendemain de la chute du Mur de Berlin, avec l’Union soviétique. Ils pensaient que la Russie allait devenir une puissance déliquescente dirigée par des mafieux ou des ivrognes type Boris Eltsine. Ils se sont lourdement trompés car ils n’avaient pas imaginés l’émergence d’un Poutine capable, en quinze ans, de redonner à son pays sa fierté, comme on a pu le constater à l’occasion des magnifiques Jeux Olympiques d’hiver de Sotchi, et de lui offrir à nouveau une place essentielle dans le monde. Ce renouveau de la Russie peut, légitimement, susciter une grande sympathie auprès des patriotes français écœurés de voir leur pays « dirigé » par une bande de baudruches incapables.
Ne pas se tromper de combat
Nous le voyons, chacun peut trouver de nombreuses bonnes raisons de soutenir un camp ou un autre. Mais, est-ce bien à nous, nationalistes français et identitaires européens, de nous immiscer dans ce conflit qui, quoiqu’en disent tous les va-t’en-guerre de la terre style BHL, ne nous concerne pas vraiment ?
Notre rôle ne serait-il pas, plutôt, de chercher à apaiser ces antagonismes qui ne peuvent que servir les projets fumeux de ceux qui veulent justement anéantir les nations ?
Louis XIV, pour expliquer sa politique étrangère, disait que « la France n’a pas d’amis ni d’ennemis, elle n’a que des intérêts ». C’est ainsi que les nationalistes français, qui sont sensés mettre l’intérêt national au-dessus de tout, devraient voir les choses aujourd’hui. Plutôt que s’entredéchirer à propos de ce conflit qui, finalement, concerne avant tout les Ukrainiens et les Russes, ne serait-il pas plus judicieux de s’interroger sur ce qui sert le plus notre pays ?
La réalité, en France comme dans la plupart des pays, c’est que ce sont justement des gouvernements inféodés à la politique mondialiste qui sont aux affaires. Alors, ne nous trompons pas de combat. Au lieu de s’entredéchirer sur la question ukrainienne, les nationalistes français doivent se mobiliser totalement contre le Système qui, ici comme ailleurs, veut détruire notre nation et notre civilisation.
Or, face à ce Système, force est de reconnaître que la Russie, dans l’état actuel des choses, est un allié nécessaire.
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mardi, 08 avril 2014
Bilan des municipales...
Président de Terre et peuple
Un taux d’abstention encore jamais vu, les bons résultats du FN, le désaveu cinglant infligé au PS, y compris de la part d’électeurs votant habituellement à gauche : les municipales ont marqué un rejet clair et net du Système en place par une partie importante de la population. C’est pour nous, évidemment, une source de satisfaction.
Face à cette Bérézina, Hollande s’est raccroché à la branche Valls, sur le thème du changement. Mais la presse n’est pas dupe du jeu des chaises musicales (on prend les mêmes et on recommence, en changeant leur dossard… vieille pratique de la IIIe et IVe Républiques). « Ayrault bis » titre Libération , « Hollande…ne change rien » (Le Figaro), « Changement a minima » ( La Croix), « Recyclage » ( Metronews ), « La nouveauté ne crève pas l’écran » (Ouest-France ), « Comme un air de déjà vu » (Midi-Libre ), « Banale reconduction » (La Montagne ), « Tout ça… pour ça » (L’Est Républicain ). Bref, un flop.
En installant Valls, Hollande joue gros car il se met à dos la gauche du PS, l’extrême gauche, les écolos… pour ne parler que des gens censés être dans son camp. Pour les autres, les gogos de droite qui ont voulu croire au numéro de Valls jouant les « Monsieur Sécurité », beaucoup ont fini par ouvrir les yeux devant le bilan calamiteux de l’ex-ministre de l’Intérieur : les chiffres donnés par l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) montrent une augmentation des vols, des cambriolages, des effractions et des actes de violence ces deux dernières années.
Valls, plus encore qu’on Hollande social-démocrate rallié au capitalisme, est un socialo-libéral, c'est-à-dire quelqu’un qui se moque en fait du socialisme et joue la carte libérale car il l’estime la meilleure pour son plan de carrière (inspiré en cela par son épouse juive).
Pourquoi, réellement, Hollande a-t-il choisi Valls ? Hollande voudrait bien être un aussi fidèle disciple de Machiavel que Mitterrand. Donc, sachant que Valls le menace directement pour la prochaine présidentielle, il veut lui savonner la planche. Par exemple en lui lançant dans les pattes la Taubira : cette hystérique va forcément provoquer nombre de nuits blanches à Valls (lequel, ne nous y trompons pas, est aussi haineux que la mégère à l’égard de tout ce qui est identitaire, enraciné, gaulois).
Compte tenu du poids des réalités (augmentation du chômage, de l’immigration, de l’insécurité) le tandem Hollande-Valls va droit dans le mur. Les mois qui viennent vont être intéressants.
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mardi, 01 avril 2014
Une nouvelle publication lancée par Synthèse nationale : "Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme"...
Ne laissons plus les autres falsifier notre Histoire.
Une nouvelle revue pour rétablir la vérité…
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
Un peuple qui ne connaît pas son Histoire est un peuple condamné… Il en va de même pour une famille politique.
Beaucoup pensent, ou voudraient penser, que la Droite nationale est née comme cela, il y a quelques décennies, telle une génération spontanée, de la conjugaison d’une crise latente et de la volonté de quelques hommes de qualité. En réalité, l’émergence de la Droite nationale (et nationaliste) au début des années 80, que ce soit en France où un peu partout en Europe, est la résultante de toute une histoire, faite de héros et d’événements, de périodes exaltantes et d’autres plus sombres, que beaucoup de militants d’aujourd’hui ignorent, hélas, trop fréquemment.
Les expériences du passé permettent de mieux comprendre ce qui se passe aujourd’hui. Celles-ci peuvent être enrichissantes si elles sont bien comprises. Le monde change en permanence, les enjeux évoluent, mais nombre de réalités demeurent constantes. S’il est important de ne pas rester les yeux rivés sur un passé, adulé ou honni, il ne faut pas pour autant rejeter complètement celui-ci.
Nos adversaires, et aussi parfois nos amis, ont une vision manichéenne des choses qui leur interdit d’être objectifs. Notre devoir est de rétablir la vérité, même si celle-ci n’est pas toujours aussi heureuse qu’on le souhaiterait. C’est dans l’intérêt des combats que nous menons actuellement.
C’est dans cet esprit que la revue Synthèse nationale, que je dirige depuis sa création il y a maintenant 8 ans, a décidé de lancer Les Cahiers d’Histoire du nationalisme, cette nouvelle publication que vous aurez bientôt entre vos mains. Elle est destinée à faire connaître, aux militants de la cause nationaliste bien sûr, mais aussi au plus grand nombre de nos compatriotes, les hommes et les femmes, ainsi que les grands faits, qui ont marqués l’histoire, souvent ignorée et trop souvent caricaturée, de notre famille politique.
Régulièrement, à chaque livraison, Les Cahiers d’Histoire du nationalisme aborderont un thème, qu’il s’agisse de la vie et du combat d’un personnage historique, comme c’est le cas dans le premier numéro qui sort à l’occasion du vingtième anniversaire de la disparition de Léon Degrelle, d’une période au cours de laquelle les nationalistes ont joué un rôle important ou encore celle d’un mouvement ou d’une organisation qui a marqué son temps. Bref, ce ne sont pas les thèmes ni les sujets qui manquent...
Pour ce premier numéro, nous avons demandé à notre ami Christophe Georgy, le dynamique Président de l’Association des Amis de Léon Degrelle, donc fin connaisseur de cette épopée fantastique que fut la vie du fondateur du rexisme belge, de rassembler les témoignages sur ce personnage mythique qui ne laissait pas insensibles ceux qui, admirateurs ou détracteurs, ont eu l’occasion de l’approcher. Léon Degrelle nous a quitté il y a tout juste 20 ans, le 31 mars 1994. Il nous a semblé utile de rappeler, à travers ces diverses contributions, qui il était, ce que furent ses idées et son combat, ainsi que l’aventure héroïque qui fut la sienne.
Et puis, d’autres numéros suivront. La deuxième livraison, prévue pour mai, traitera du nationalisme révolutionnaire de François Duprat, autre personnage mythique du Panthéon nationaliste… Un autre numéro, consacré au Maréchal Mannerheim, chef de la Finlande des années 40, qui mena la vie dure à la sanguinaire Armée soviétique qui tentait d’annexer son pays, est en préparation…
Une dernière chose : pour pérenniser cette nouvelle collection et pour que vous ne manquiez pas un numéro, nous vous proposons la classiques formule de l’abonnement (voir PJ). Celle-ci, indépendante de l’abonnement à Synthèse nationale, vous permettra de recevoir, à un prix attractif de lancement (95,00 €, franco de port, au lieu de 110,00 €, valable jusqu'au 30 avril), chaque numéros des Cahiers d’Histoire du nationalisme dès leur parution.
Cette entreprise a pour objectif de rétablir la vérité sur notre histoire. Il était urgent de la lancer. Aujourd’hui, c’est chose faite. Nous savons que nous pouvons compter sur votre aide et sur votre fidélité pour la continuer…
Ce 1er volume consacré à Léon Degrelle, réalisé sous la direction de Christophe Georgy, comprend une très bonne biographie, les textes de Francis Bergeron, Pierre Vial, Jean-Yves Dufour, Alexandre Gabriac, Camille Galic, Joël Laloux, Fernand Kaisergruber, Michael Hemday, Armand Gerard, Alberto Torresano, Edwige Thibaud, Henri de Fersan, Yvan Benedetti, Pierre Gillieth et Saint-Loup ; des dessins inédits de Godus, Ignace, Peper et Korbo et un cahier photo...
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mardi, 04 mars 2014
Le refus d’un monde uniformisé
Patrick Parment
Les événements qui se déroulent actuellement en Ukraine sont la conséquence directe d’une propagande menée de longue date par les Américains et relayée par leurs « amis » européens, afin de créer un arc de déstabilisation dans les anciennes marches de l’empire russe. L’Ukraine, comme la Syrie d’ailleurs, la Georgie hier encore, constituent des limes que Moscou n’entend pas voir déstabilisés et dont elle entend demeurer l’interlocuteur privilégié.
Le fond du problème, on s’en doute, est la guerre menée par les Américains pour imposer à la terre entière un modèle libéral qui a pour but, outre d’éradiquer les différences et nier l’identité des peuples, de servir les intérêts américains dans le monde. L’Amérique veut exporter et réduire une démocratie de façade à un modèle unique et donc totalitaire. Pour se faire, les Américains ont érigé les soi-disant « droits de l’homme » en une lutte du Bien contre le Mal, à savoir les contrevenants à ce modèle auquel l’Europe est désormais totalement inféodée au mépris des réalités historiques, politiques, géographiques et surtout culturelles. Dans la réalité, les Européens ont abdiqué depuis 1945 en refusant d’assumer un destin politique.
Il se trouve que, tant les Russes que les Chinois ou les Iraniens, en refusant de se soumettre au modèle américain, sont devenus les ennemis auxquels désormais on fait la guerre avec des moyens autres que les bombes et les fusils. Carl von Clausewitz ne disait-il pas que la paix n’était jamais que la continuation de la guerre par d‘autres moyens. Nous en avons l’exemple sous les yeux.
Que l’on soit ou non d’accord avec les modes de gouvernance russes ou chinois ne nous importe guère. Si l’on veut défendre la diversité du monde, le refus de son harmonisation, alors on ne peut que se ranger du côté des Russes, des Chinois, des Iraniens et bien d’autres. Bref, du côté de tous ceux qui refusent d’être les esclaves d’un modèle totalitaire qui n’a pour seul et unique référence que le dollar.
Source Synthèse nationale/ Le Journal du Chaos
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lundi, 03 mars 2014
Il va falloir s’occuper des nuisibles...
Après l’attentat contre la librairie Facta d’Emmanuel Ratier, c’est le local du MAS et de la radio Méridien Zéro en région parisienne qui a été détruit par un incendie criminel, après vol du matériel technique servant à la réalisation des émissions. Décidément la résistance identitaire fait tellement peur aux gens du Système qu’ils ne trouvent que le terrorisme pour essayer de l’empêcher d’agir. Ils en seront bien sûr pour leurs frais.
Nous affirmons notre totale solidarité avec nos camarades du MAS et de Méridien Zéro, dont l’impact est une belle réussite. Et nous invitons tous les militants de la résistance identitaire à prendre les mesures nécessaires pour assurer leur sécurité car évidemment il ne faut pas compter sur la police et la justice pour le faire puisque contre nous tout est permis et même recommandé. Nous ne devons compter que sur nous-mêmes. Certains vont s’apercevoir qu’un vieux principe est toujours valable : pour un œil, les deux yeux, pour une dent, toute la gueule.
Terre et peuple cliquez là
07:41 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0)
mardi, 12 novembre 2013
LES PATRIOTES SE MOBILISENT POUR DEFENDRE LA LIBERTE...
Michel Dantan le nouveau NH cliquez ici
Ni l’éloignement des lieux, ni le soleil radieux qui ce 11 novembre rayonnait sur la région parisienne n’ont suffit à dissuader les patriotes à venir nombreux participer à cette 7e journée que la revue Synthèse nationale organisait sur le thème de la défense des libertés menacées. Une journée nationale et identitaire placée sous le signe de l’unité des patriotes qui a rassemblé à Rungis plus de 500 personnes (700 d’après les organisateurs), marquant d’ une nouvelle étape l’avancée du combat de la résistance que mène depuis des années la revue de Roland Hélie contre les atteintes portées à l’identité de la France.
Après une matinée consacrée à des rencontres avec la rédaction de la revue, douze intervenants (1) parmi les plus représentatifs du courant national ont animé les débats de l’après midi au cours de deux tables rondes qui avaient pour thème « l’effondrement du système » et « se battre contre le mondialisme ». En patriotes conscients des enjeux de société qui se posent aujourd’hui à notre peuple et des défis qu’il appartient au camp de la résistance nationale de relever, les orateurs qui se sont relayés à la tribune ont tous mis en exergue le caractère délétère du mondialisme, et la volonté de destruction planifiée de nos nations qui anime ses profiteurs et leurs thuriféraires. Etre ou disparaitre, telle est bien la question que soulève aujourd’hui avec de plus en plus d’acuité cette nouvelle idéologie mortifère dont les avancées à visage découvert se font de plus en plus à coups de répression, socialiste aujourd’hui, demain sociale démocrate ou libéral, peut importe le choix opportuniste de ses défenseurs, au dépend de nos liberté, dont celle en premier lieu de vouloir continuer à exister selon nos coutumes et nos traditions. Voilà bien le choix que l’idéologie dominante porteuse d’un nouveau messianisme veut nous empêcher de faire, et voilà pourquoi la défense de la Liberté prend aujourd’hui tout son sens face au monde Orwellien qui se met en place à coup de dépopulations, d’immigration forcée et de subversion des valeurs fondatrices de nos sociétés par l’importation de traditions et de coutumes étrangères à nos modèles de sociétés enracinées. Une fois l’ennemi désigné, les intervenants ont aussi avec lucidité décliné les difficultés qu’il y avait à combattre sans concessions le mondialisme, ce dont l’esprit de Reconquista ne saurait s’accommoder.
Au cours de la journée le sort du jeune Esteban, victime de la répression du système dans le cadre de l’affaire Meric, ainsi que la récente dissolution de mouvements nationaux par le pouvoir socialiste ont aussi été évoquées et dénoncée la capacité du Système à ne reculer devant aucun moyen pour combattre la résistance des patriotes.
(1) : Pierre Hillard, Hugo Lesimple, Gabriele Adinolfi, Hervé Van Laethen, Luc Pécharman, Jean-Claude Rollinat. Serge Ayoub, Richard Roudier, Roger Holeindre, Robert Spieler, Carl Lang, Roland Hélie.
Hugo Lesimple, Pierre Hillard, Jean-Claude Rolinat, Luc Pécharman, Roland Hélie, Hervé Van Laethem, Gabriele Adinolfi
Serge Ayoub
Roger Holeindre
Robert Spieler
Carl Lang
NDLR : pour consulter les films des interventions à cette journée : cliquez ici
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