Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 02 novembre 2013

A propos de l'assassinat de deux militants nationalistes grecs à Athènes

1456665_207279909444384_1123199604_n.jpg

Un communiqué de la Nouvelle Droite Populaire :


Le vendredi 1er novembre quatre membres du parti nationaliste grec ''Aube dorée'' ont été attaqués par deux motocyclistes casqués et armés alors qu'ils se trouvaient devant un local de leur mouvement, dans le quartier populaire Neo Irakleio de la périphérie athénienne. Les agresseurs ont littéralement criblé de balles les militants nationalistes grecs Georgios Fountoylis (26 ans) et Manos Kapelonis (22 ans), en ont blessé mortellement un troisième alors qu'un quatrième a heureusement réussi à échapper aux assassins qui n'ont pourtant pas omis d'ouvrir le feu contre lui aussi. La nouvelle de ce crime odieux devrait bouleverser l'opinion publique hellénique et mondiale... 

Cependant ces actes ne sont que l'aboutissement logique de la frénésie antifasciste et répressive qu'avaient déclenché les partis politiques systémiques grecs, tant de droite que de gauche, à la suite du meurtre d'un rappeur gauchiste, au cour d'une banale bagarre, par un sympathisant présumé de l'AD, au mois de septembre dernier. Cet événement avait tout-de-suite poussé le gouvernement grec à incarcérer la plus grande partie des dirigeants et députés élus du parti nationaliste sous des prétextes fallacieux, tandis que la puissante opposition de gauche s'adonnait, comme on pouvait s'y attendre, à la gymnastique antifasciste à travers une série de manifestations, plus tapageuses que massives et de passages hystériques sur les plateaux de télévision et les médias.
 
C'est l'instrumentalisation d'un événement encore mal éclairci combinée à une campagne haineuse et orchestrée par l'ensemble des forces politiques ''démocratiques'' (se déclarant en d'autres occasions comme complètement ''inconciliables'' entre elles) qui a créé un climat propice au terrorisme. Certes jusqu'à ce moment aucune organisation criminelle n'a assumé la responsabilité de l'attentat qui a coûté la vie aux deux jeunes patriotes, mais il est bien connu qu'en Grèce existe depuis plusieurs décennies une nébuleuse de groupes terroristes d'extrême-gauche ou ''anarcho-autonomes'' responsables d'une pléthore d'assassinats ou attentats y compris contre des locaux de l'Aube dorée (attentat à la bombe du 4 décembre 2012 contre le local de l'AD à Aspropyrgos, ville industrielle à proximité d'Athènes).
 
L'hypothèse d'un coup monté et organisé par le gouvernement n'est pourtant pas à exclure non plus puisque le ministre grec Antonis Samaras avait promis le 8 octobre dernier, au cours d'une séance de la Chambre de Commerce gréco-israélienne, d'éradiquer l'Aube dorée, ''vraie honte pour le pays''. Dans ce cas le meurtre odieux du 1er novembre n'aurait comme but que celui de terroriser cette partie du peuple grec qui soutient plus que jamais, malgré les tonnes de propagande haineuse, le parti nationaliste ou à brandir le spectre de la guerre civile afin de tourner vers la droite libérale les patriotes qui ne veulent pas voir leur pays sombrer dans un cycle vicieux de violence.

Les événements grecs prouvent de la façon la plus flagrante que quand les classes politiciennes à la solde du système mondialiste et de la haute finance internationale se trouvent contestées par les peuples, elles n'hésitent pas à recourir aux méthodes les plus sanglantes et les plus répugnantes afin de violer la volonté populaire et défendre les intérêts de leurs maîtres visibles ou occultes.  

Pour notre part, même si nous ne partageons pas toutes les positions du parti Aube dorée, nous nous déclarons tout à fait solidaires avec les militants nationalistes grecs qui luttent sincèrement contre l'asservissement de leur pays et se trouvent à tout moment aux prises avec la répression cynique qui n'hésite pas à violer les règles les plus élémentaires de la démocratie en emprisonnant des élus du peuple.

Honneur à la mémoire des martyrs nationalistes grecs Georgios Fountoylis et Manos Kapelonis !

Liberté pour les militants nationalistes qui se trouvent dans les cachots du régime grec !

Poursuivons le combat pour une Europe libre !
 

Les commentaires sont fermés.